La belle Emma Lohoues a demandé aux jeunes filles de travailler dur et aussi d’être très sélectives dans le choix de leurs amoureux. La busineswoman s’est exprimée encore sur les réseaux sociaux.
Emma Lohoues fait parler d’elle encore. Pas de la plus mauvaise manière cette fois-ci, mais plutôt positivement. Dans sa position de businesswoman, l’influenceuse vient de faire une sortie remarquable sur les réseaux sociaux. Dans cette sortie sur la toile, Emma Lohoues exhorte les jeunes d’aujourd’hui au travail comme elle au lieu d’être paresseuses. ’Moi que vous voyez aujourd’hui là, j’ai eu à travailler dans des instituts ; j’ai eu à être insultée par des patrons…Pour être actrice, je ne suis pas passée par la petite porte ; j’ai eu à me faire insulter, ridiculiser et rejeter dans des castings. J’ai eu un petit magasin avant d’avoir un institut de beauté et là, je pense que je n’ai encore rien fait… Arrêtez de tendre la main. Bougez-vous ! C’est de petit boulot à petit boulot qu’on arrive à ce dont on a toujours rêvé. Pour réussir, il faut faire preuve d’abnégation, de courage ; d’échec en échec, on finit par réussir’’, conseille-t-elle.
Bien avant cette publication, l’ex-petite amie de feu Arafat DJ avait demandé également aux jeunes filles de faire un choix très sélectif dans leur rencontre amoureuse. ‘’Vous vous mettez à un niveau où n’importe qui peut vous draguer. Et vous vous plaignez que c’est toujours les mêmes gars qui vous font la cour et se foutent de vous après. Ce n’est la faute à personne d’autre que vous-mêmes. C’est votre propre faute. C’est à vous de changer de level de gars. Si vous vous mettez à certains niveaux, vous aurez des soupirants de ce même niveau. Le boutiquer ne peut pas sortir de son magasin pour draguer une dame posée qui est dans son véhicule. C’est plutôt la nounou qu’on envoie faire des emplettes dans son magasin que le boutiquier peut draguer. Donc, c’est où vous vous placez qu’on vous drague’’, disait-elle. Espérons que les conseils de la jeune et belle actrice ivoirienne Emma Lohoues seront entendus par les jeunes filles ivoiriennes voire africaines.
Patrick Bouyé