Ce mercredi 26 avril 2023, à la salle de conférence du Ministère de l’Hydraulique, de l’Assainissement et de la Salubrité (Minhas), le Chef de Cabinet Koné Aboubacar Sidiki a eu une rencontre avec la jeunesse politique et celle de la société civile. Cette rencontre a porté sur l’opération de libération des zones à risque avec la saison des pluies qui s’annonce. A cette occasion, le Chef de Cabinet a invité cette jeunesse à s’impliquer dans ladite opération qui sera lancée le jeudi 27 avril 2023, à l’auditorium de la Primature.
Dans le cadre de la lutte contre les inondations et les pertes en vies humaines en cette saison des pluies, il sera lancé le jeudi 27 avril 2023, une opération de libération des zones à risque. Avant le lancement de cette opération, Koné Aboubacar Sidiki, Chef de Cabinet du Ministère de l’Hydraulique, de l’Assainissement et de la Salubrité a rencontré la jeunesse des partis politiques et celles de la société civile. Au cours des échanges, le chef de Cabinet a expliqué à la jeunesse, la volonté du gouvernement d’arriver à “ Zéro victime“ lors de cette saison des pluies.
Pour parvenir à cet objectif, il a indiqué qu’il faut l’implication de toutes les couches sociales, dans cette opération de portée sociale, notamment celle de la jeunesse. Ainsi, Koné Aboubacar Sidiki a invité la jeunesse à prendre toute sa part dans la sensibilisation des populations aux côtés du ministère afin d’éviter les drames. Aussi, il a fait savoir qu’il ne s’agit pas d’une affaire politique, mais d’une action citoyenne qui doit être soutenue par tous.
Toutefois, le Chef de Cabinet a déploré l’incivisme et l’anarchie qui sont en grande partie à la base de ces problèmes.
A sa suite, l’ensemble des jeunes a rassuré le Chef de Cabinet de leur indéfectible soutien quant à la réussite de cette opération. En retour, il n’a pas manqué de les inviter à prendre part à la conférence de presse du lancement de l’opération ce jeudi 27 avril 2023, à la Primature.
La rencontre a enregistré la présence de la jeunesse du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (Rhdp), du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci), du Congrès Panafricain pour la Justice et l’Égalité des Peuples (Cojep) et du Front Populaire Ivoirien (Fpi). La société civile était représentée par le Parlement des Jeunes de Côte d’Ivoire et le Comité des Élèves et Étudiants de Côte d’Ivoire (Ceeci).
Fernand Appia (Minhas)