Depuis le 14 février, le couple présidentiel ivoirien est en visite de travail à Bruxelles en Belgique. Ce, dans le cadre du 6e sommet Union Africaine-Union Européenne.
En marge de ce sommet, le Président de la République et la Première ont rencontré plusieurs Officiels Belges, notamment le président du conseil Européen, M. Charles MICHEL avec qui le couple a partagé un diner de travail. Le Président a aussi rencontré sa Majesté PHILIPPE de Belgique, Roi des Belges, Jutta URPILAINEN, la Commissaire Européenne aux Partenariats Internationaux, les membres de la Chambre de commerce belgo-luxembourgeoise et son Président M. BULTYNK et Kristalina GEORGIEVA, Directrice Générale du FMI.
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Dans cette même Dynamique, la Première Dame a eu une rencontre avec des Organisations de la Société Civile Belge pour échanger sur les questions du cacao Ivoirien et du travail des enfants. Elle était accompagnée par Monsieur Alain-richard DONWAHI, Ministre des Eaux et Forêts ; Monsieur Adama KAMARA, Ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale, Président du Comité Interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (CIM) ; Monsieur Georges BOLAMO, Directeur de Cabinet Adjoint du Premier Ministre ivoirien qui suit particulièrement ce dossier ; Madame Sylvie Patricia YAO, Directrice de Cabinet et Secrétaire Exécutive du Comité National de Surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (CNS) ; Monsieur Jérémy KOUASSI, Directeur du Développement Agricole au Conseil Café Cacao et Madame Tessy WINKELMAN, Consultante auprès du CNS chargée de la lutte contre le travail des enfants.
Madame Dominique OUATTARA a donné les statistiques de la filière du cacao en Cote d’Ivoire avant d’évoquer les problèmes de celle-ci. Elle a surtout mis l’accent sur la lutte contre le travail des Enfants. A ce propos la Première Dame a déclaré : « nous avons également mis en place un système de vigilance et d’alerte, d’une part par la mise en service de deux lignes vertes et d’autre part par la mise en place d’un Système de Suivi du Travail des Enfants en abrégé SOSTECI. Tout cela a permis de sauver plus de 200 000 enfants en situation de traite et d’exploitation.»
Guy-Roland B