La sous-section du Syndicat Nationale des Attachées, Secrétaires Fonctionnaires de Côte d’Ivoire (SYNASEFCI) de Gagnoa a été installée le vendredi 26 Août 2022. Avec l’investiture de sa toute nouvelle secrétaire générale (SG), Kouakou Ba née Dali Edith.
En présence de la 5ème adjointe au maire de la mairie de Gagnoa, Coulibaly Fatoumata, représentant le maire, Yssouf Diabaté, du parrain de la cérémonie, le colonel Charles Gadji et de la représentante de la première responsable dudit syndicat, Moho Rachelle, secrétaire à la communication du SYNASEFCI. La toute nouvelle responsable de la sous-section SYNASEFCI de Gagnoa, en service au cabinet de la direction régionale de l’éducation nationale et de l’alphabétisation du Gôh (DRENA- Gôh), a pris l’engagement d’œuvrer « immédiatement » à l’implantation du syndicat dans le district du Gôh- Djiboua. Notamment, à Gagnoa, Oumé, Divo, Lakota, Zikisso, Hiré et dans les régions voisines, Soubré, Daloa et San- Pedro.
« Le chantier est vaste. Mais, avec l’aide de Dieu, nous allons pouvoir y parvenir. Parce qu’il est important de faire connaitre notre syndicat dans notre zone et de faire adhérer le maximum de collègues. Donc, nous nous mettons au travail dès cet instant, mes collaboratrices et moi, pour faire avancer le travail sur le terrain », s’est engagée la SG du SYNASEFCI Gagnoa. A en croire la représentante de la SG nationale, le SYNASEFCI revendique aujourd’hui plus de 50 sous-sections dans le district d’Abidjan et les régions de l’intérieur du pays. Selon elle, sa présence à Gagnoa répond à la politique d’implantation du syndicat dans le cadre du renouvellement de ses instances. Moho Rachelle a saisi l’occasion pour exhorter ses collègues à prendre conscience de leurs nouvelles responsabilités. « Nous avons de sérieuses lacunes. Et, nous le reconnaissons. Le parrain l’a dit, il faut que nous soyons au diapason de l’ère du numérique. Parce que nous sommes le pilier de l’administration », a-t-elle fait observer. Elle a leur rappelé qu’étant désormais des assistantes de direction, et non de simples secrétaires comme par le passé, ces dernières doivent être compétitives. D’où la nécessité de la formation continue pour répondre aux exigences de leurs nouvelles responsabilités.
Le parrain, quant à lui, a indiqué que ses filleuls méritent un accompagnement pour faire face aux nouveaux défis. Raison pour laquelle il s’est engagé à leurs côtés pour les épauler dans leurs nouvelles missions.
Guyssôh Kanegnon.