Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux nous fait découvrir l’envers du décor d’une ville prisée pour son luxe, ses strass et paillettes. Cette vidéo nous éclaire davantage sur la vie de ces influenceuses des réseaux sociaux qui fait pâlir leurs fans. Suivons cette histoire de la ville de Dubai, prise sur la page facebook de »Toutes belles ».
Avant de résumer l’affaire, comprenez que Porta Potty désigne « toilettes publiques ». Et le terme « Dubaï Porta Potty » a été choisi pour dire « les femmes toilettes ».
Ces femmes sont souvent utilisées et traitées de la même manière que les toilettes typiques.
À la fin, elles sont récompensées avec d’énormes sommes d’argent en dollars, ce qui leur permet de s’exhiber avec des looks brillants et fantaisistes sur les plateformes de médias sociaux. Les personnes qui s’adonnent à ces pratiques sont généralement payées entre 15 000 $ à 30 000 $ par semaine pour leurs services.
Il y a quelques jours, une dame inconnue a atterri sur les réseaux sociaux pour se confesser. Elle a raconté en gros, tout ce qu’elle a subi à Dubaï parce qu’elle était une femme toilette. S’en est suivie une pluie de déballages sur les réseaux jusqu’à la diffusion d’une vidéo dans laquelle on voit une femme en train de « manger les excréments d’un homme ». Et comme si ça ne suffisait pas, la fille prend sa langue pour essuyer la zone anale du monsieur. Dégoûtant !
En effet, il s’agit de certains hommes arabes très riches qui, pour réaliser leurs fantasmes, contactent certaines femmes africaines et leur proposent un marché. En général, ce sont les femmes bien connues sur les réseaux sociaux, les mannequins, les influenceuses, qui sont contactées via Instagram et autres. Ils proposent à ces dernières une énorme somme d’argent, un voyage en classe affaire, hôtel de luxe, bref une vie de rêve à Dubaï. Pour un week-end seulement, ils sont prêts à payer entre 15000 et 30000 dollars. Si vous êtes d’accord, vous vous entendez sur la suite des événements, tout ceci sur un contrat bien rédigé et confidentiel.
En échange, ces filles réalisent leurs fantasmes : coucher avec plusieurs hommes à la fois, avec des chameaux ou autres animaux, coucher avec des adolescents de 14ans maximum, manger leur caca, se faire uriner dessus ou boire l’urine, accepter être traitées comme des chiennes, bref des fantasmes simplement diaboliques.
Et une fois qu’elles rentrent dans ce cercle, qu’elles signent un contrat, elles ne peuvent plus en sortir. Elles font partie désormais d’un gang, et pourraient être appelées à tout moment. Ça devient juste un métier !
Leçon à tirer ? N’enviez pas les gens sur les réseaux sociaux. Nous vivons dans un monde où certains sont prêts à tout pour le m’as-tu vu! Tout ce qui brille n’est pas de l’or…