Le Parti Ivoirien des travailleurs, l’Union des sociaux-démocrates et le Parti communiste révolutionnaire de côte d’Ivoire ont signé la charte du Fdds. Aka Ahizi, Henri Niava et Ekissi Akichy veulent représenter la gauche ivoirienne.
Le Front pour la défense de la démocratie et la souveraineté, d’Aka Ahizi, représentera la gauche et ses idéaux. Par-delà porter les aspirations du peuple face à un libéralisme qu’ils récusent.
Pour eux, l’échec de la désobéissance civile observée en 2020, ne devrait pas freiner leurs ardeurs de démocratie d’où la constitution de cette force politique afin de constituer un contre-pouvoir.
Selon Henri Niava, les Ivoiriens soucieux de libérer leur pays de l’impérialisme, doivent en urgence opérer un sursaut déterminant.
Il ajoute que ces partis fondent leurs expériences, leurs moyens pour se mettre au service des Ivoiriens. Ils veulent continuer la lutte pour la démocratie, les liberté et la souveraineté nationale.
Cette coalition a incriminé les dirigeants ivoiriens. Elle leur reproche les maux qui minent la société ivoirienne, à savoir la cherté de la vie, les arrestations abusives.
Le porte-parole du Fdds a invité les organisations civiles, politiques et sociales, voulant s’engager à assurer leur part dans la phase majeure du combat.
Plusieurs entités civiles et politiques ont apporté leur soutien à la coalition. Parmi celles-ci Alternative citoyenne ivoirienne (Aci) de Pulchérie Gbalet et le Cojep de Charles Blé Goudé.
Assamoa Agnero