Robert Assi Boni et l’ong Le droit de vivre ont mis la joie dans le cœur des enfants d’Allakro (Cocody) (PhDr)
Quartier précaire de la commune huppée de Cocody, Allakro a reçu la visite de l’Ong Le droit de vivre qui a mis la joie dans le cœur des enfants, le vendredi 17 décembre 2021.
Les parents du quartier Allakro ont pu avoir la joie dans le cœur à l’idée de voir leurs enfants être cadeautés par une Ong. En cette fin d’année, cet événement heureux vient amoindrir la pénibilité de la vie qu’ils mènent.
Un peu plus de 100 tout-petits ont manifesté la joie de recevoir un présent en ces temps de fête de fin d’année. En effet, les enfants du quartier précaire Allakro situé dans la commune de Cocody ont reçu des cadeaux. Ils ont par la même occasion reçu la magie de Noël.
Une réalité qu’il ne vivent pas toujours vu le manque de moyen de leurs parents. Et c’est Ong Le droit de vivre qui en est l’auteur. Selon son président Robert Assi Boni, cette action n’aurait pas eu lieu sans le consentement des mêmes parents de ces bambins.
« Aujourd’hui, l’Ong Le droit de vivre, organisation non-gouvernementale dont je suis le président, est ici, chez vous en compagnie du père noël pour partager ces moments avec vous. Merci de nous témoigner votre hospitalité en nous acceptant parmi vous vivre ce temps de bonheur, de joie et d’émotion » a-t-il témoigné.
La situation des habitants de ce quartier
Pour la plupart des étrangers venus des pays limitrophes nord de la Côte d’Ivoire, ils vivent de petits métiers pour assurer leur pitance quotidienne. Leur revenu étant très maigre, il est difficile pour eux de s’offrir un logement descente. Ils squattent alors des terrains inoccupés avec leurs familles.
Il n’est pas aussi rare de trouver dans ces quartiers des jeunes issus de nos villages et communes rurales
Certains parmi eux-aussi travaillent chez des personnes fortunées de la commune. Femmes de ménage, chauffeurs, cuisiniers, nounou etc..
Il n’est pas aussi rare de trouver dans ces quartiers des jeunes issus de nos villages et communes rurales. En attendant d’avoir un mieux être, ils habitent dans ces maisons en bois. Ils parlent même de maison de transition.
Alain Zadi
Source : Linfodrome